LES ATELIERS EN LIGNE – PRINTEMPS 2024
les gens qui doutent
MERCREDI 17 AVRIL – 18H30-21h
SAMEDI 18 MAI – 9h30-12h
LUNDI 3 JUIN – 20h-22h30
femmes qui marchent (1)
MERCREDI 1 MAI -18h30-21h30
LUNDI 6 MAI – 20h-22h
femmes qui marchent (2)
MERCREDI 12 JUIN – 20h-22h
LUNDI 17 JUIN – 20h-22h
A LA GRANDE OURSE
MARDI 16 AVRIL – 19h-22h
Les gens qui doutent
C’est autour (entre autres) des mots d’Anne Sylvestre que nous expérimenterons l’écriture de quelques textes sur nos tâtonnements, nos errances, nos ratures et nos pas de côté ; celle de ce petit peuple des maladroit·e·s, des brouillon·ne·s, des timides.
FEMMES QUI MARCHENT (1) et (2)
Marcher pour se réapproprier son corps après une blessure, une maladie, un accouchement, un avortement ; marcher pour fuir la violence, tenter d’échapper à sa condition ; marcher coude à coude pour se défendre, s’entraider, se soutenir. Marcher, tout simplement par plaisir d’expérimenter le corps en mouvement, de sentir la mécanique des muscles en action. Quelles qu’en soit la raison, il convient de se méfier des femmes qui marchent. Les deux ateliers sont indépendants, il n’est pas nécessaire d’avoir suivi le premier pour s’inscrire au deuxième.
A LA GRANDE OURSE
Le titre est tiré tout droit d’une chanson d’Anne Sylvestre qui s’intitule Maman. Pour cet atelier autour de la parentalité, qui est ouvert à tou·te·s, je vous propose d’explorer par l’écrit cette expérience dévorante du devenir parent, dans la multitude de constellations qui la constitue.
Vous savez désormais quoi faire !
Filez sur vos boîtes mails et inscrivez-vous vite
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aucun pré-réquis nécessaire, sinon l’envie d’écrire quelque chose.
Vous en serez ?
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Les ateliers que je propose sont comme un laboratoire : je vous donne les ingrédients et c’est à vous ensuite, avec mon accompagnement toujours bienveillant, de trouver les justes doses, de patouiller, d’expérimenter, de mettre les mains dans la matière pour finir par produire un texte, toujours unique, toujours pétri d’émotions.
Tout le monde est capable de créer quelque chose de chouette, pour peu que le contexte y soit propice et c’est ce à quoi je m’emploie, pendant ces 2h30 d’ateliers en ligne : vous aider à aller chercher en vous les ressources que vous avez tous ! Portés par l’énergie du groupe et par la drôle de bulle qui finit par toujours envelopper ces temps d’écriture, comme si — au delà de l’inévitable labeur — se délivrait à nous un espace un peu vaporeux, qui nous sort de la réalité.
Pour être au plus juste dans l’animation de ces temps d’écriture collective, je m’appuie sur mon expérience d’autrice et sur mes propres bidouillages, ceux avec lesquels je déjoue les inévitables empêchements.
Et croyez moi, c’est gai et doux !